Créer une offre de cours plus accessibles aux personnes qui travaillent en inventant des formats et une pédgaogie compatibles avec les différents emplois du temps et les contraintes de la vie professionnelle ou personnelle
Marjorie Lempereur, fondatrice
Le cours de sport hebdomadaire a toujours fait partie de mon équilibre de vie depuis aussi loin que je me souvienne. J’ai démarré par des cours de gym très jeune puis les cours de danse m’ont suivi tout le long de mon parcours. J’ai toujours réussi à trouver de la place pour un cours de danse, clef de mon équilibre, même alors que j’étais en classe préparatoire… Toujours, sauf lorsque j’ai commencé à travailler !
Les réunions, les déplacements professionnels ont alors eu raison de mon organisation… Et de mon corps. J’ai fini par me bloquer le dos et à avoir vraiment l’impression de vivre dans un tunnel.
Je suis devenue prof de danse pour pouvoir continuer à danser, mais là, même problème, impossible de trouver du temps pour prendre un cours.. POUR MOI !
Et pourtant, ça me manquait vraiment dans mon équilibre.
Alors que je m’étais spécialisée pour les adultes et que j’avais inventé un format d’enseignement pensé pour les personnes actives, j’ai donc eu envie de monter Calendae pour faire en sorte de non pas révolutionner le cours de danse mais bien le cours de sport, la pratique sportive et culturelle en général.
Je suis convaincue que la pratique de loisirs, les cours collectifs, en présentiel, sont une clef importante de notre épanouissement. Ils nous renouent avec notre corps, notre créativité, nous permette de rencontrer du monde, de nous insérer dans nos lieux de vie, d’apprendre, de nourrir notre curiosité.
Avec Calendae, je souhaite redonner le goût aux adultes de découvrir des disciplines sportives et culturelles et faire en sorte que le cours collectif s’insère facilement dans tous les plannings, quels que soient les métiers, même ceux aux horaires atypiques, parce qu’il n’y a aucune raison pour que cette pratique soit réservé à celles et ceux qui ont des horaires standards.
Je suis aussi convaincue que cette modernisation est la clef pour sécuriser le métier d’enseignant de sport ou de pratique culturelle, des métiers aujourd’hui souvent précaires, dont l’exercice est difficile.
